|
Ancien Site de TAHALIL |
|
|
Premier << 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 >> Dernier |
08/12/2006 LETTRE OUVERTE: Notes sur les irrégularités constatées dans l’ordonnance N°016/2006
L’ordonnance portant modification de certaines dispositions de la loi organique n° 94-012 fixant le Statut de la Magistrature, initiée par Maître Mahfoudh Ould Bettah, Ministre de la Justice, a été récemment adoptée par le pouvoir de la transition. La nouvelle loi a suscité une vive opposition dans le milieu judiciaire et entraîné la démission protestataire de cinq (5) magistrats est présenté par le Ministre de la Justice comme étant une "réforme profonde de la profession qui va dans le sens du renforcement de la magistrature par des compétences nouvelles et la consolidations de l’autonomie des juges".
|
24/11/2006 Où va la Mauritanie ? Par Abba O.A TOLBA, ancien haut fonctionnaire de l’Etat
La tenue –plutôt réussie- des élections générales le dimanche dernier pose plusieurs questions dont les réponses doivent nécessairement être données –peut-être pas tout de suite !- par les acteurs politiques du pays si l’on veut ouvrir une nouvelle page dans l’Histoire politique de la Mauritanie.
|
02/11/2006 Interview de M.Bâ Mamadou Alassane Président du PLEJ: «Notre débat, à nous, n’a pas encore commencé »
Bâ Mamadou Alassane, dit «Bâ dialogue », est l’un des premiers cadres du pays. Il a occupé plusieurs postes de responsabilités, mais il a surtout marqué la scène politique nationale, lorsqu’il occupa le portefeuille de ministre de l’Education Nationale. Sa disponibilité au dialogue - il est professeur de philosophie de formation - lui a valu son surnom.
|
29/09/2006 L’épître de la vipère
|
15/08/2006 Condoleezza Rice : Tout commença par une histoire de fèves
Au temps de l’esclavage, il y avait les esclaves qui vivaient dans la plantation et ceux qui vivaient dans la maison. On avait le privilège de vivre dans la maison s’il l’on servait le maître comme il voulait être servi. C’est pourquoi ils (Condoleezza et Powell, NDLR) sont actuellement à la Maison. Une invective, dit-on, mais elle fut la pire des invectives, lancée en 2003 par Harry Belafonte, le grand chanteur de calypso et patron de l’association des journalistes noirs américains, contre ce qu’il qualifie de boniches du Parti républicain, et à leur tête Condoleezza Rice, l’actuelle secrétaire d’Etat. L’attaque de Belafonte résume, en substance, toute l’interrogation qui a «torturé» l’imaginaire d’une communauté des observateurs et relative à la présence d’une noire dans une formation politique connue pour son fichier ségrégationniste.
|
25/07/2006 L’identité perdue de Nouakchott : De la confiscation des droits des Tendgha (Ichouganen) à la fondation improvisée
L’émission de la télévision nationale consacrée à l’histoire de Nouakchott a suscité un débat au niveau de la presse écrite. Ainsi le journal Horizons a publié une réaction de la fondation Moctar ould Dadah, laquelle a été suivie d’autres commentaires. Parmi ceux-ci nous avons retenu la réflexion de l’historien Hmah Allah ould Salem dont une partie a été publiée par le journal Horizons N° 4256 du 27 juin 2006 et qui a été intégralement publiée, en arabe, par nos confrères «Al Alam», «Al Amel Al Jedid et «Al Nahar». Nous livrons donc ici, à nos chers lecteurs, une traduction intégrale de cette réflexion historique
|
03/07/2006 Transition démocratique: Evaluation à mi-parcours Par Ely Ould Nava, journaliste
Les engagements du CMJD pris les premières heures du 03 août 2005 ont été, non seulement respectés mais mis en œuvre en partie.
Le jalon le plus important des différents stades qui constituent la transition démocratique a été l’adoption par référendum des amendements constitutionnels. Le 25 juin 2006, une page historique du calendrier électoral est donc définitivement tournée.
Les yeux des Mauritaniens sont maintenant tournés vers les prochaines élections législatives et municipales de novembre prochain. C’est le Rendez-vous décisif qui attend les différents acteurs de la scène politique du pays.
|
03/07/2006 PROFESSION : Politiciens de l’ancienne école !Par Mounirou fall
«Si vous ne faites pas la politique, la politique vous fera». C’est entendu! Ces propos d’un grand homme politique contemporain ont de quoi faire changer d’opinion sur le sujet, aux plus apolitiques des rois et reines du Créateur.
C’est ainsi peut-être que les mauritaniens, pour ne point se laisser mener en bateau par cet «art de gouverner la cité» choisissent «l’action participative» comme credo!
Mais cet engouement pour la politique de mes compatriotes prend souvent des allures bizarres et gargantuesques, surtout avec l’ère nouvelle du CMJD.
|
28/06/2006 REFERENDUM DU 25 JUINÂ : Un OUI contre la dictature mais un OUI dictatorial
Pour ceux qui auraient encore une conception léonine du pouvoir, la semaine dernière aura été révélatrice quant au sort que leur réservera la justice des hommes.
C’est ainsi Bob Denard et Charles Taylor l’auront appris a leurs dépens, en ayant rendez vous avec l’histoire, la petite bien évidemment.
Le premier pour ses frasques chevaleresques aux Comores dans les années 90 s’est vu gratifié d’une peine de prison par un tribunal français. Le second quant à lui a bénéficié d’un aller simple Freetown- La Haye pour enfin répondre de ses turpitudes criminelles au Liberia et Sierra Leone Denard Taylor deux hommes, un seul et même destin : Celui du pouvoir comme affaire de grand banditisme
|
20/06/2006 Nouvelle Constitution :« Touche pas à mon arabe», aticle 6 Par Mounirou Fall
Enfin le CMJD et ses docteurs ès-constitution ont trouvé aux Mauritaniens un livre de chevet, une sorte d’ana de 32 pages pur produit de l’école «Ould Taya», revu et «corrigé» avec la future aimable approbation des concitoyens d’Ely Ould Mohamed Vall. La nouvelle Constitution semble de prime visu, répondre aux attentes des mauritaniens quant à l’édification d’une société moderne et équitable. Mais, à y regarder de plus près, il y a matière à perdre son français !
|
|
|
|
|
TAHALIL 2006-2022 Tous
droits reservés |
|