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22/05/2006 Semaine de la bande dessinée : Mystères, bulles, et gommes!
Du 16 au 19 mai, le Centre Culturel Français a accueilli et honoré la bande dessinée africaine et mauritanienne. L’occasion de découvrir (ou de redécouvrir!) les artistes mauritaniens sous-exposés, mais aussi des scénaristes et dessinateurs français invités pour l’occasion.
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08/05/2006 Un musée à Toueizigt
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08/05/2006 Mohamed Mahmoud Ould Taleb, Consultant en développement culturel : Notre société méprise les artistes!
Mohamed Mahmoud Ould Taleb, consultant en développement culturel, est titulaire d’un DESS en stratégies de développement culturel de l’Université d’Avignon et des pays du Vaucluse (France). Son engagement en faveur d’une culture mauritanienne libérée des entraves des castes, plus soutenue par les pouvoirs publics, fait de lui l’une des rares personnalités à avoir véritablement une vision d’ensemble des problèmes empêchant l’émergence d’une culture mauritanienne rayonnante et reconnue.
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06/05/2006 Un musée à Toueizigt
El Khalil Ould N’tahah, commerçant reconverti dans les oeuvres d’art se consacre depuis quelques années à réaliser un musée néolithique et historique à Toueizigt, aidé en cela par les ressortissants de la localité, commerçants, intellectuels entre autres. La coopération française et l’IMRS se proposent d’aider le conservateur du musée à inventorier et à classifier les pièces disponibles et à former du personnel.
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02/05/2006 Peinture et sculpture : Attention, talents à côté!
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24/04/2006 Présentation du Roman "Et le ciel oublié de pleuvoir " de Mbareck Ould Beyrouk
Il y’a vingt ans, un groupe des jeunes intellectuels comprenant, entre autres, le regretté Habib Ould Mahfoudh , Mohammed Vall Ould Oumére, Lo Gourmô Abdul, Idoumou Ould Mohamed Lemine ont fondé sous l’impulsion de Mbarek Ould Beyrouk dit "Cheikhou" un journal "indépendant" dont l’intention affichée traduisait la profonde aspiration de toute une génération.
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18/04/2006 Les femmes mauritaniennes, gardiennes du temple culturel
L’expérience de la femme, quelle qu’en soit la forme fait partie de " l’expérience " de sa société mais cette "expérience" varie d’une société à l’autre en fonction des habitudes, des traditions et de la vision culturelle dominante… Le discours islamique étant le fondement de la culture mauritanienne dans l’ancienne société, la femme n’étant point marginalisée mais a toujours senti qu’elle assume une part de la responsabilité culturelle. Partant de cela, la femme mauritanienne a récité le Coran, appris les sciences juridictionnelles, et la grammaire. Elle a fondé de grandes mahdras, de célèbres écoles coraniques et participé à tous les domaines de la renaissance culturelle.
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10/04/2006 Lettre à mon frère Bilal
Cher frère, L’ histoire individualisée de l’esclavage et de la Torture complète, sans doute, la triste "encyclopédie du film noir" que tu as pu consulter au fond de l’épouvantable cellule. Au vu de ce scénario proposé, tu as été bien inspiré en essayant d’extirper ce couple maléfique à une réalité, celle de notre pays, aussi affreuse qu’alambiquée. A elle seule, l’imagination qui t’a conduit à te mettre dans la peau d’un "Bilal" pour restituer le roman d’un tragique vécu évoque, bien au delà des "écritures arabes", l’épopée d’un saint Spartacus symbolisant la liberté acquise par des hommes qui, face à une infernale servitude, se sont recommandés, la patience et la vérité.
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Culture: Î’Islam vu par les Canariens
Les Canariens ne sont pas uniquement inquiétés par les conséquences sociales de l´immigration en provenance de l´Afrique. L’idée que des radicaux islamistes puissent s’infiltrer dans l’envahissant cortége des immigrés donne de plus en plus des soucis aux habitants de l’archipel. Associant, malheureusement, par « un délit d´ignorance» (comme l’a si bien dit l’un des conférenciers) le phénomène de l’immigration de l´Afrique Occidentale a une confusion erronée entre l´Islam et le terrorisme. Une certaine opinion relayée par des medias pressés s’enlise dans l’ombre des simples clichés et des regrettables préjugés.
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