Prétendue traque de X ould Y : Après l’acharnement, temps de la bassesse   
02/05/2006

Depuis décembre 2005, Cheikhna Ould Nenni s’acharne à me présenter comme x ould y. Les preuves que j’ai fourniescomme quoi je ne suis pas ce bloguer  ne comptent pas. On dirait que cela  l’arrange quelque part, que je sois cet internaute anonyme. Cheikhna s’est toujours refusé...



...à exhiber ses preuves, préférant faire le porte-à-porte ou le téléphone arabe pour me présenter comme tel. Il s’agit pourtant d’une affaire qui devait être traitée sur un ring ou devant un juge. Car si Cheikhna s’estime diffamé par les écrits de x ould y, moi, aussi, je m’estime l’être en étant présenté être ce blogueur. L’acharnement a atteint le stade de me pister, de pirater depuis février 2006, mon e-mail personnel et celui de mon journal après avoir usurpé mes mots de passe. Le piratage de mes correspondances dont je ne me suis rendu compte quand le pirate s’est dévoilé lui-même avec un courrier de chantage et de menaces, avait accès depuis février 2006, à mes boites électroniques et pouvait donc les utiliser à sa guise

Je demande pendant qu’on y est, pourquoi se trompe-t-il d’adversaire ? Pourquoi ne pirate-t-il pas la boite électronique de x ould y : le gibier, n’est-ce pas lui ?

L’accusation d’abord, la fabrication des «preuves» ensuite
Je ne suis pas un informaticien et je ne mets ni masque, ni gants pour afficher mes convictions. Je ne suis donc pas x ould y, dont le secret réside dans ses capacités techniques, et à masquer son identité. Moi, je suis une proie facile pour tout pisteur. C’est pour cela que depuis quelques mois, je constate que le contenu de mes boites e-mails me semblait avoir été «tripoté» à mon insu, et que des fichiers avaient même disparu de mon ordinateur.
J’en avais parlé au technicien qui s’occupe de notre maigre parc informatique, lequel m’avait rassuré que c’était impossible. Je l’avais cru. Jusqu’au moment du bouclage de l’édition n° 8 de «TAHALIL ». Au moment où nous nous apprêtions à lancer l’impression du journal, la maquette disparaissait de notre écran. C’était la soirée du 17 avril 2006. L’équipe du journal au complet, en était restée médusée. Nous finîmes par comprendre que notre ordinateur qui était connecté à Internet avait dû être victime d’une intrusion pirate qui a détruit ou volé notre maquette. Il a fallu tout recommencer à zéro. En deconnectant cette fois-ci, l’ordinateur d’Internet. Nous avions convoqué aussitôt le technicien qui se trouve être celui de NouakchottInfo (qu’importe? nous n’avons rien à cacher!) lequel, nous a déclaré de nouveau : «le piratage est impossible, sans les mots de passe». Nous l’avions cru, mais nous étions restés sceptiques. Pourquoi ? À cause des antécédents !
Dans les faits, Cheikhna Ould Nenni me traque depuis décembre 2005, espérant découvrir  x ould y derrière ma personne. Des individus de son entourage aspirant aux fonctions que j’occupais à la MAPECI ou désirant lui soutirer de l’argent, ont orchestré des mises en scène pour le convaincre d’une telle aberration. C’est la raison pour laquelle j’ai quitté Nouakchott Info à la même période. Après 4 années de dur labeur, durant lesquelles, j’étais le robot, le clône, la bête de somme et le gardien du temple et de ses secrets. La cérémonie organisée à l’occasion de mon départ intervenait après une accusation grotesque. Elle a été néanmoins marquée par des mots touchants de certains journalistes honnêtes de NouakchottInfo, lesquels, m’avaient poussé malgré le caractère surréaliste et stupide de la situation, à déclarer que je reviendrais dés que mon ex-patron en exprimerait le besoin.
Auparavant, -il faut le dire- nous nous étions engagés sur l’honneur (Cheikhna et moi) à ne pas parler de la cause de mon départ. Cheikhna a violé cet engagement aux premières secondes, semble-t-il. Je n’en ai parlé et c’est ma faute, que très tardivement en découvrant que Cheikhna a vendu «le scoop» partout. Notamment aux principaux décideurs du pays. Sa méthode prisée, avec laquelle, il a déjà semé la désolation dans bien des foyers et qui se révélait hier, payante. Tout récemment, l’entourage de Cheikhna a manigancé une mise en scène pitoyable selon laquelle une confidence qui m’avait été faite à l’oreille, a été publiée sur le blog de x ould y le 15 avril . Je dis bien pitoyable, parce qu’elle démontre jusqu’où la bassesse mêlée à la haine peuvent mener. Il n y avait pas eu de «confidence» faite au creux de mon oreille durant la soirée du 14 avril. La confidence: «Hah Eski» qui ne se chuchote d’ailleurs pas, avait été proclamée à haute voix devant une assemblée de journalistes (cf Quotidien, le MEHARISTE, édition du 18 avril). Qu’importe ! Quand on veut tuer son chien, on l’accuse de rage. Mais le problème, c’est que je ne suis pas un chien et je n’ai pas non plus, la rage.

Tel un détenu de droit commun
Cheikhna et son entourage ne veulent pas cesser de courir derrière les mirages et de manipuler l’opinion. C’est leur problème. En tout cas notre séparation est irréversible. Elle a du être pénible. Mais je souhaite qu’elle ne soit pas tragique. En tout cas, je ne me laisserais pas faire, comme l’autre, je veux parler de «SINIMAR», (Paix à son âme). Et cet acharnement visant à m’assassiner moralement ou physiquement se heurtera à ma résistance… juste, pour la survie. Je ne suis pas une mauviette et je rendrais dorénavant coup sur coup. J’en ai assez pris et je ne peux continuer à rester prisonnier des considérations familiales ou amicales. Les sentiments chevaleresques, c’est pour les chevaliers. Pas pour les voleurs de poules ! Je suis innocent de cette accusation ignoble et je l’ai prouvé, en janvier 2006 déjà, bien avant qu’on ne pirate mes e-mails. J’avais accepté au prix de ma dignité et par respect à une sœur (qui se reconnaîtra ici et j’en suis désolé), de me soumettre à l’observation directe de Cheikhna, dans son domicile: Tel un détenu de droit commun en garde à vue.
Durant cette période où je suis resté sous observation, sans mon téléphone et sans connexion Internet, x ould y avait écrit sur son blog. Je n’ai donc aucun lien avec cet internaute qui écrit quand je suis «en détention», quand je survole à 30 000 mètres d’altitude l’océan Atlantique ou le golfe du Mexique, comme je peux le prouver. Je n’ai aucun lien avec un blog dans lequel on m’insulte d’ailleurs souvent, en me traitant d’ivrogne et de drogué.
Je n’ai ni les prédispositions, ni la capacité technique pour gérer un blog, pour le protéger du piratage ou même pour protéger mes propres e-mails. Et cet acharnement ne fera pas de moi, ce que je ne suis pas. D’ailleurs un éditorialiste et chroniqueur de renommée a souligné tout récemment cet acharnement contre ma personne et la volonté de mes ex-confrères de liguer contre moi les victimes de x ould y. Pourquoi un tel acharnement ? Eh bien, parce que j’ai quitté NouakchottInfo la tête haute, je ne suis pas mort de faim, et j’ai fondé un journal qui se lit, qui se vend, et que de grands journalistes de Nouakchottinfo ont rejoint.

De la bassesse à l’ignominie

Depuis le 27 avril, l’acharnement et la bassesse ont tourné à l’ignominie. J’ai reçu sur mon e-mail et celui de mon journal : (sisselmou @hotmail.com et journaltahalil @yahoo.fr), la preuve que je suis «pisté», comme on dit, en plus d’une menace, que si je n’arrête pas (d’être ce que je ne suis pas !), qu’on transmettra les résultats des investigations à mes victimes, lesquelles me tueront. Le message émane d’un pseudonyme «abdella diery». Le style ne laisse aucun doute sur l’auteur. Le pistage que j’ai reçu de mes e-mails remonte au 27 février 2006. Certains des titres des e-mails que j’envoie, des sites que je visite, des e-mails que je reçois y figurent. Le pisteur a pu détecter mes mots de passe, en plaçant 19 logiciels espions identifiés finalement, par un grand technicien sur mon ordinateur. J’en profite pour informer mes correspondants, mes amis et même mes pisteurs, que les deux adresses en question ne m’engagent peut être pas depuis la date indiquée et ou même bien avant, car elles étaient devenues accessibles à autrui. A autrui donc d’assumer les conséquences de leur utilisation dans cet intervalle de temps. Je leur communiquerai à l’avenir, des adresses sécurisées. Et je tiens aussi à préciser qu’à moins que le pisteur n’en fabrique avec du copié collé, aucun échange avec x ould y ne figure dans le relevé de pistage des mes centres d’intérêt sur le web. Je crois d’ailleurs que le blog en question n’y a été visité qu’une fois ou deux, en deux mois.

Pas de réponses à un tas de questions
Naturellement, je porterai plainte en temps opportun pour diffamation et pour violation du secret de mes correspondances, un droit garanti par la Constitution. J’estime aussi qu’aucune réponse n’a été apportée à un tas de questions. Pourquoi le pisteur ne se focalise-t-il que sur deux, des 17 mois d’activité du blog? Comme si les 15 mois occultés, le gênent : x ould y a commencé à sévir sur le web depuis novembre 2004, à l’époque, je n’avais pas les e-mails pistés. Pourquoi piste-t-on mes e-mails en lieu de celui de x ould y, la source de tous les maux ? Comment a-t-on pu pirater mes e-mails sans qu’on ne réussisse à le faire pour celles de x ould y ou pour son blog ? Comment pourrais-je donc protéger un blog supposé m’appartenir, et laisser exposer à la piraterie ma boite personnelle et donc ma vie privée ? S’intéresse-t-on réellement à cet X, ou veut-on seulement porter préjudice à Isselmou? Cherche-t-on un bouc émissaire ? A qui profite la Manip ? La délation est une maladie de l’esprit. L’investigation, un art.
Isselmou Ould Moustapha

Fac- similé du message de chantage

Voici le fac- similé du message de chantage adressé à notre directeur de publication par la personne qui se cache derrière le pseudonyme «Abdella Diery Â» En bas du message les anciens mots de passe : objectivité pour le journal « Tahalil Â» et mohamed ahmed pour l’e-mail personnel de notre Dir pub. Le vrai X ould Y doit se marrer !

 

"Date : Thu, 27 Apr 2006 20:00:16 +0200 (CEST)

De:  "abdalla diery" <diery89@yahoo.fr>  

Objet: Khroujou et rire

À: sisselmou@hotmail.com, journaltahalil@yahoo.fr

"Je t’envoie ces trois logWeb(guide) pour te faire du Khroujou et rire .je crois aussi que tu réflichiras sur ton présent et ton avenir.Ce guide est un échantillon de plusieurs mois de pistage de tout ce que tu fais sur ton clavier et sur tes différents centres d’interêt sur le Web.Le blogueur de Monputeaux que tu as visité sur le webside du Nouvel Obs pourrait
te donner des leçons sur ce qu’il endure.Mais toi si les personnes que tu attaques te connaîtront, tu n’arriveras pas en justice.Cesses d’utiliser les noms d’utilisateur de ???? avec CODE : ????2005 sur ????.Ne voles pas les autres.Si tu arrêtes tes jeux, nous serons les seuls à savoir cette énigme X.  Je ne ferais rien sans savoir ta réaction .Si tu fais preuve de sagesse, personne ne te dira quoi que ce soit.Mais si tu t’entêtes, je transmettrais le message avec d’autres preuves plus frappantes Ã  toutes
 les personnes touchées par ta folie.
 
N.B objectivite; mohamedahmed; ...............BYE"

 

 

 


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