| Après moins de quatre mois après les élections présidentielles et au cours de la première échéance électorale à laquelle participe Le parti de l’Union Pour la République (UPR) après sa création, les résultats du renouvellement du tiers du sénat (Groupe A) lui ont donné une large victoire méritée et sans précédent dans les circonscriptions électorales objet du renouvellement.
Ces résultats ont ainsi prouvé que le peuple mauritanien a bien connu la réalité de certaines forces de l’opposition et leur incapacité de réaliser la moindre réussite ou l’exploitation, des opportunités offertes par les circonstances en sa faveur quelles que soient les garanties. Ceci étant, le manque de clairvoyance et d’analyse efficace des données soutenus par la volonté de gagner les paris sans les préparer de façon objective et fiable, tous ces facteurs réunis ont entraîné cette opposition dans des contradictions qui n’échappent à personne.
Malgré donc les conditions favorables dans lesquelles se sont déroulées les élections législatives en question, les garanties de transparence qui les ont accompagnées et les mesures prises pour la première fois telles que : la non numérotation des bulletins de vote, l’interdiction de l’entrée des téléphones portables des conseillers, cette opposition s’est vue incapable de gagner la confiance des représentants du peuple.
Et au lieu de reconnaître des erreurs et de faire son autocritique, l’opposition saute à chaque échec et s’emporte contre la majorité et la considère responsable sans la moindre preuve tangible ou fiable. Et personne n’ignore les concessions grandioses faites par le Président Mohamed Ould Abdel Aziz et la majorité qui le soutient avant les élections présidentielles précédentes à tel point que certains ont considéré que ce qu’il a fait est un suicide politique et une aventure sans précédent. Malgré tout cela et après la reconnaissance des instances internationales et les observateurs de tout bord, cette même opposition a demandé la révision sans se baser sur le moindre fondement, le seul motif est qu’elle a échoué, car ni ses représentants dans les instances de contrôles, ni ses représentants dans les bureaux de vote n’ont soulevé le moindre défaut. Et une telle attitude ne peut servir que le blocus du pays dans un cercle vicieux des élections et l’arrêt de ses organes de fonctionnement et son progrès.
Et lorsque cette opposition n’a pas eu d’écho pour ses revendications illégales, elle s’est orientée vers l’accusation de la ségrégation dans le choix des gestionnaires de la chose publique. Et si notre opposition reconnaissait les arguments nous lui aurions montré du doigt des proches de la majorité convoqués et sanctions comme tous les autres. Bref notre opposition préfère la surenchère et la perversion, c’est là son dessein nous n’y pouvons rien! Elle ne voit pas la positif, elle n’encourage ni les acquis, ni l’action constructive, ni la réforme à laquelle elle criait. Elle a commencé à s’ingérer dans les responsabilités des contrôleurs. Notre président ne donc que tenir sa promesse de lutter contre la gabegie et sanctionner ses auteurs quel que soit leur car cela fait l’ossature de son programme électorale et son engagement pour la patrie.
Si l’opposition se respectait et respectait son peut, elle n’aurait prétendu que la président de la république n’a pas respecté ses engagements.
Quant à nous au sein du parti de l’Union Pour la République (UPR), nous déclarons ce qui suit :
- nos remerciements aux conseillers qui ont su résister aux pressions de toutes natures pour voter avec conviction en faveur de la réforme et du changement, comme nous haut et fort les efforts consentis par les responsables de la campagne tant sur plan régional que sur le national et sacrifices faits par les candidats et les militants en travaillant nuit et jour pour faire connaître les programmes du parti et les politiques du collège électoral.
- Nous confirmons que les résultats obtenus démontrent l’attachement du peuple mauritanien au choix du changement constructif après l’avoir vécu dans sa vie quotidienne.
- Saluons les efforts consentis dans la lutte contre la gabegie et l’instauration des fondements de la transparence, du respect de la chose publique, de la morale, des valeurs humaine et de la justice ; comme nous notons avec satisfaction la politique des visites inopinées suivie par le président de la république pour s’enquérir sur place des problèmes du citoyen.
- Remercions tous ceux qui ont contribué de près ou de loin dans la réalisation de cette victoire historique et particulièrement nos partenaires de la scène politique nationale (partis, organisations et initiatives).
- Saluons les positions équilibrées du gouvernement et ses politiques qui ont permis au pays de reprendre sa place normale dans le concert des nations sur la base du respect réciproque et les intérêts communs.
- Renouvelons notre attachement au dialogue et à l’ouverture à tous les mauritaniens sans exception et sans le moindre préjugé.
Enfin nous rappelons que si on fait la sourde oreille aux attaques des autres, ce n’est pas par incapacité de répondre mais tout simplement parce que ce lui qui est en train de construire n’a pas de temps pour la destruction. Et celui qui est en position de responsabilité n’est pas comme qui exerce une vocation ou comble un vide, ou pire encore veut faire entendre sa voix aux médias pour montrer qu’il vit encore.
La marche du progrès prend son chemin et les acquis se multiplient, et le service de la nation et du peuple est le meilleur domaine de concurrence.
Le parti de l’Union Pour la République (UPR)
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