L’esclavage est interdit en vertu de la législation nationale et des engagements internationaux en matière de droits humains contractés par la Mauritanie. Aucune définition de l’esclavage n’exprime réellement toute l’ampleur du mal.
Mais si vous procédiez à une évaluation objective du passif humanitaire et surtout de l’esclavage par rapport à ce qu’il fut il y’a plusieurs décennies, vous serez certainement amener à constater une nette régression progressive. En tout cas il est évidement que plus vous dramatisez des séquelles d’esclavage plus vous les rendez pénibles à digérer. Et si vous les laissez disparaître naturellement,sans tapage,vous serez certains que vous arriverez à bout de quelques séquelles atténuées aujourd’hui par la dépendance économique réciproque et des relations parentales des groupes pour ne pas dire des tribus.
N’est ce pas des nouvelles perspectives politiques, économiques et sociales du Pays nécessitent la conjugaison des efforts de tous, surtout dans cette période caractérisée de réconciliation, de paix,de progrès et de tolérance.
Des héritiers de nos ancêtres, ont assuré la continuité de l’oeuvre de notre beau Pays en s’opposant de toutes leurs forces aux colonisateurs français, avec pour seul objectif de préserver l’intégrité de la Mauritanie.
C’est pourquoi il convient d’enseigner à la jeunesse mauritanienne, très tôt l’histoire de la Mauritanie et les nobles valeurs et traditions de ces hommes. A savoir, l’honneur et l’amour à la Patrie.
Aujourd’hui ,la Mauritanie ne manque pas de cadres,ils sont nombreux mais restent toujours sans travail,sauf hormis un fils de dignitaire ou notable. Des responsables dociles et incapables, considérent l’administration publique comme étant leur propriété.
Autant dire qu’il est l’heure pour ces responsables de rompre avec toutes pratiques anciennes.
Il est plus que temps d’agir ensemble contre le passif humanitaire, l’esclavage et ses séquelles en Mauritanie. A bon entendeur..Salut
Dahaman Mohamed Salem
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