Le parti «Hatem» dirigé par Saleh Ould Hannena a dénoncé le 20 mai par communiqué le recours des autorités à la «militarisation» des établissements d’enseignement et sa propension à réprimer les étudiants. «Hatem» dit refuser toutes sortes...
...de violences contre les manifestants.. Ce parti qui a claqué recemment la porte à la Majorité et appelé les autorités à libérer les étudiants arrêtés.
|