Le secrétaire général des Nations-Unies, M. Ban Ki-moon, a effectué vendredi à Nouakchott une visite d’information au centre hospitalier mère-enfant (CHME). Sur place, le secrétaire général de l’ONU s’est enquis sur l’expérience de cette formation ...
... hospitalière dans la prise en charge médicale des mères et des enfants et le plateau technique dont elle dispose. Il a été édifié, également, sur la nature des prestations dispensées aux patients, des conditions d’hospitalisation, due coût de traitement et des réductions accordées aux indigents ainsi que des liens avec la caisse d’assurance maladie (CNAM). M. Ban Ki-moon s’est arrêté au niveau des services d’imagerie médicale, de consultations et d’hospitalisation où il a pu jauger la contribution du CHME dans la réalisation des objectifs du millénaire visant la réalisation du bien-être de la mère et de l’enfant. Au terme de la visite, le secrétaire général de l’ONU a signé livre d’or de l’établissement et fait la déclaration suivante à la presse: ’’D’emblée, je voudrais vous remercier de me donner l’opportunité de visiter votre établissement. Cela m’a permis de constater votre dévouement et apprécier vos efforts louables, qui constituent une partie intégrante des Objectifs du Millénaire pour le développement durable (OMDD) par la contribution à la survie des mères et des adolescents. En dépit de quelques améliorations, les indicateurs de santé ont montré en Mauritanie ces dernières années des défis de mortalité maternelle et néonatale. Pour remédier à cette situation, le pays s’est engagé en 2009 dans l’accélération de l’atteinte des OMDD et l’amélioration de la qualité des services par la création d’un hôpital mère-enfant. Pour cette initiative pionnière, je félicite le président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, et je salue son engagement en faveur de la santé des populations vulnérables et vous réitérez le soutien des organismes des Nations’’. Le secrétaire général de l’ONU, a été accueilli et salué à son départ par le ministre de la santé, Pr. Kane Boubacar, entouré par ses proches collaborateurs.
AMI
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