Le médiocre ministre de la Défense, Ahmedou Ould Idey Ould Mohamed Radhi, a exhorté les pays liés dans une initiative régionale de lutte contre le terrorisme à agir davantage pour " tarir les ressources du terrorisme et resserrer l’étau sur tous ceux qui pratiquent...
...les enlèvements pour en tirer des fonds en refusant de payer des rançons" . Il s’exprimait le 11 décembre lors de la réunion de Nouakchott, à laquelle participaient cinq pays européens et cinq pays africains et qui a débouché sur un accord en vue de créer un état-major opérationnel commun. "L’idée, c’est d’avoir des militaires qui se connaissent et qui se comprennent et qui soient prêts en cas de besoin à mobiliser dans leurs pays respectifs les moyens nécessaires ", a dit Gérard Longuet qui participait à Nouakchott à l’initiative, dite du "5+5", qui regroupe l’Algérie, la Libye, la Mauritanie, le Maroc et la Tunisie, la France, l’Espagne, l’Italie, Malte et le Portugal. Les participants à cette réunion ont examiné plusieurs questions intéressant la région, plus particulièrement les moyens de lutte contre le terrorisme et l’émigration clandestine, ainsi que les défis engendrés par la prolifération des armes dans la région du Sahel. Ils ont de même procédé à l’évaluation du plan d’action du Groupe 5+5 pour l’année 2011 et à l’examen de l’étude réalisée par le Centre euro-maghrébin de recherches et d’études stratégiques pour l’année 2011 sur l’émigration illégale et les défis de sécurité auxquels font face les pays de la région. A l’issue des travaux de cette réunion, les délégations présentes ont signé le communiqué conjoint qui appelle à une réflexion au sujet de l’élaboration d’un cadre référentiel des activités menées dans les différents domaines de la coopération commune de l’initiative
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