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08/11/2006 A vous de trouver l’astuce!

Les fonctionnaires de l’Etat engagĂ©s dans la campagne Ă©lectorale sont en congĂ© forcĂ©, aucun vĂ©hicule de l’Etat ne se hasarde maintenant aux abords des sites d’animation Ă©lectorale ;  les media publics ont presque passĂ© sous silence l’ouverture de la campagne Ă©lectorale et prĂ©sentent  une  couverture axĂ©e sous les angles de la prĂ©servation de l’ordre public et de la manifestation matĂ©rielle de la campagne.



25/10/2006 Seigneur, prends soin de nous!

Seigneur ! ProtĂ©ge-nous, de la faune qui «squatte» les devants de la scène. De ces fossiles imposĂ©s sur nos tĂŞtes et de ceux d’entre eux, qui reviennent Ă©ternellement, briguer nos suffrages. ProtĂ©ge-nous des «politiques» qui ont Ă©tĂ© Ă  toutes les sauces, qui font et dĂ©font  la politique...



16/10/2006 Petit Ftour pour caimans

C’est une histoire qui commença le 3 aoĂ»t 2005, une histoire de partis en quĂŞte du pouvoir, ce sont des histoires de partis, parfois on les imagine  grandes, mais elles finissent par n’être que de petites histoires. Il s’agit d’ histoires de personnes Ă  la recherche d’un fauteuil prĂŞtes Ă  toutes les combines, combinaisons, compromissions pourvues de se construire leur propre histoire ou de la reconstruire, mais l’histoire ce sont souvent ceux qui ne la font pas, qui la subissent les premiers.



06/10/2006 Au delĂ  du vacarme

Qu’ils sachent nos indĂ©pendants, eux,  et leurs soutiens, qu’il ne pourra plus y avoir de partis-Etat dans ce pays. Et ce, quelque soit la nature de l’appui qu’ils obtiendraient. Et qu’ils se posent une question : oĂą nous ont  menĂ© les partis-Etat?



27/09/2006 Un ministre peut-il ĂŞtre guignard ?

 Les prix des hydrocarbures affichaient Ă  la pompe, pour le gasoil, 188, 8 UM le litre et pour l’essence, 223 ,7 UM, quand Mohamed Ali Ould Sidi Mohamed fut dĂ©signĂ© le 10 aoĂ»t 2005, ministre de l’énergie et du pĂ©trole. La Mauritanie s’apprĂŞtait Ă  devenir pays producteur de pĂ©trole et on se disaient -naĂŻvement on l’a vu- que ces prix seraient rĂ©visĂ©s Ă  la baisse, sinon qu’ils resteraient stables.



27/09/2006 C’est quoi cette indĂ©pendance ?

La semaine dernière, des notables, des cadres et des citoyens lambda se disant dĂ©semparĂ©s Ă  la veille des Ă©lections, face Ă  la recomposition du paysage politique, sont venus exprimer leur dĂ©sarroi devant le Chef.
Aussitôt après, ils se sont proclamés indépendants. Par groupes, ils ont quitté essentiellement le PRDR. Les autres partis ont jugé ces indépendants, dangereux parce que suscités, disent-ils, par l’exécutif. Et les partis politiques de crier à l’ingérence. On dirait la fin de l’idylle entre le CMJD et la classe politique. Les plus pessimistes diront que c’est le retour aux anciennes méthodes et aux crispations.
Pourtant l’émergence de la mouvance des indépendants n’est pas fortuite. Elle a été suscitée à force de diabolisation du PRDR, des partis politiques alternatifs et des projections sur fond de scénarios catastrophe.



15/08/2006  L’économie, parent pauvre de la politique

3 aoĂ»t 2005-3 aoĂ»t 2006. Une annĂ©e s’est Ă©coulĂ©e depuis le changement de rĂ©gime,et l’avènement du CMJD Ă  la tĂŞte de notre pays.  Un CMJD qui aura dĂ©stabilisĂ© tout autant les idĂ©es reçues des mauritaniens, que le rĂ©gime dont il fut le tombeur. En mettant fin aux pouvoirs d’un homme qui a dirigĂ© notre pays 21 annĂ©es (et dont le bilan est loin d’être entièrement nĂ©gatif), le nouveau Chef d’Etat contrairement Ă  son prĂ©dĂ©cesseur, a tĂ´t annoncĂ© la couleur : le pouvoir au-delĂ  d’une pĂ©riode transitoire ne l’intĂ©resse pas. Surprise pour les mauritaniens qui s’apprĂŞtaient Ă  s’accommoder bien du nouveau rĂ©gime, vingt autres annĂ©es. Prendre le pouvoir pour le garder, c’est du dĂ©jĂ  vu. Le prendre, pour le cĂ©der relevait jusqu’ici de l’inhabituel.



25/07/2006 Vous les femmes….

Le quota des 20 % accordĂ© aux femmes par le CMJD et son gouvernement aux futures Ă©lections municipales et lĂ©gislatives ne doit pas se justifier seulement par la loi du nombre. D’ailleurs si tel est le cas, cette logique veut que la femme qui reprĂ©sente plus de 50 % de nos populations puisse bĂ©nĂ©ficier d’un quota similaire. Or, en le rabaissant Ă  20 %, en lieu de la paritĂ©, on reconnaĂ®t que la femme mauritanienne a encore du chemin Ă  parcourir et qu’il lui faut un coup de pouce. Certains pensent que la reprĂ©sentation ne se dĂ©cide pas d’en haut. Elle doit ĂŞtre mĂ©ritĂ©e. Ils ajoutent que ces 20 % constituent un nouveau clin d’œil populiste Ă  l’endroit des femmes dans un contexte oĂą elles souffrent de multiples tares : ignorance, infĂ©odation Ă  l’homme, polygamie etc.



17/07/2006 Y pensons-nous?

Des foyers de tensions Ă  l’Est, au Nord et au Sud de notre pays avec un environnement sous rĂ©gional qui annonce des lendemains incertains ; un conflit qui s’engage sans issue dans sa quatrième dĂ©cennie, un autre qui renaĂ®t des cendres de ses flammes de paix et l’incertitude qui plane sur un autre pays du voisinage avec ou après le dĂ©part du patriarche. Une ceinture en quelque sorte minĂ©e entoure un pays de 1.000.000 km2, de 3.000.000 d’habitants dont le sol et sous-sol regorgent de ressources naturelles.



11/07/2006 Le syndrome du silence 

Une certaine opinion veut que la BCM cultive le syndrome du silence, comme la SNIM, il y a si peu de temps. La théorie de la raison d’Etat en dehors du secteur de la défense nationale est dangereuse parce qu’elle offre une marge de manœuvre aux gestionnaires. Le moment venu, ils pourront faire porter le chapeau à l’Etat.

Or, pour une meilleure qualité de vie des mauritaniens, il est important que toutes les institutions nationales soient transparentes et gérées conformément aux usances professionnelles nationales et internationales.




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