«Notre rôle, tous, est de défendre la loi, la transparence et que nous sachions tous que nous devons en tant que privés, journalistes, ministres, directeurs, rendre compte de nos actes. C’est ainsi que nous ferons un pays solide et développé»
Brahim Ould Boucheiba Administrateur Délégué à Maghreb Oil
«Il faut rappeler une vérité souvent occultée ou ignorée, à savoir que "l’esclavage" invoqué en Mauritanie ne se réduit pas aux seules pratiques et coutumes considérées comme en relevant au sein de la communauté arabe (ou arabo-berbère) majoritaire. Même si ces pratiques sont plus vivaces, plus visibles aussi en raison de la connotation raciale qu’a historiquement revêtu ce système dans toutes les tribus maures, elles n’en restent pas moins partagées, dans des formes plus ou moins atténuées, dégradées ou camouflées, par les trois autres communautés ethniques négro-africaines : Haal Pulaar’en, Soninké et Wolof».
Lô Gourmo, Maître de Conférences, Université du HAVRE, France.
«L’opinion croit que les industries nationales nagent dans l’argent, ne paient aucun impôt et sont exonérés de tout. Tiviski paie chaque année entre 58 millions et 87 millions UM au budget de l’Etat, et n’a même pas un égout, ni l’enlèvement des ordures, et surtout pas de soutien face aux importations».
Nancy Abeiderrahmane, capitaine d’industrie
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