Le tristement célèbre Biram Ould Dah Ould Abeid refait surface, encore une fois, après une absence non regrettée, pour aligner ses habituelles inepties et jouer au pyromane. Sous prétexte de lutte contre un prétendu esclavage en Mauritanie, M. Biram qui a perdu recemment un poste juteux...
...à la commission nationale des droits de l’homme fait recours à une vieille arme souvent utilisée comme chantage alimentaire en vue d’arracher des concessions au gouvernement.
Ce chantage construit sur le mensonge et l’amplification des séquelles de l’esclavage (qui n’était pas l’apanage d’une quelconque communauté nationale), prend maintenant une forme subversive en direction de la religion et de l’armée.
Une communauté nationale perçue comme minoritaire, on ne sait, au nom de quelle arithmétique, est gratuitement stigmatisée dans ce sens.
Le gouvernement mauritanien très multicolore est présenté comme reflétant une hégémonie de race, l’armée comme des mercenaires à la solde de la France et les religieux comme des faire valoir.
Le système politique serait un apartheid, le tout, dans la plus vile malhonnêteté et parcequ’un médiocre activiste aux idées fixes, est incapable de sortir des marécages du racisme, de la violence verbale et de la projection.
Pour résumer, la dernière sortie de M. Ould Dah Ould Abeid à travers le communiqué de son organisation dite « IRA » en dit long sur les velléités machiavéliques et "Darfouries" d’un illuminé qui s’imagine en face de prétendus "Janjawides". Comble de la supercherie, la bavure policière évoquée dans son communiqué n’est nullement systématique.
Des bavures similaires s’étaient déjà produites à Kankossa et Arafatt et les victimes n’appartenaient pas à la communauté dont Biram veut se faire un prophète de malheur.
Que Biram sache que ses idées extrémistes et décousues font rire parcequ’elles ne se basent sur aucun fondement. L’esclavage n’existe plus en Mauritanie. Seules ses séquelles et parfois de rares pratiques esclavagistes, persistent dans certains coins reculés, loin des grands centres urbains. Et on ne peut pas créer des esclaves pour donner une cause à un individu afin qu’elle lui serve d’ascenseur. Il n’y a pas d’écoles séparées, pas de transports par race, pas de townships en Mauritanie. Les bidonvilles (gazras et kebbas) abritent les pauvres de toutes les couleurs et de toutes les ethnies. Les communautés nationales n’ont pas de problèmes . Elles se retrouvent dans la symbiose dans l’administration, l’armée, la justice, la police, la Mosquée, le marché, la Badiya et Tevragh zeina. Les enfants de toutes les communautés jouent dans les rues en toute fraternité et ignorent l’existence de Biram. Le peuple mauritanien est immunisé contre les approches enfantines et envisage l’avenir avec sérénité depuis qu’il a élu en toute transparence le Président Mohamed Ould Abdel Aziz qui a démontré son sens de la justice sociale, de l’équité et du concrêt. L’armée nationale est républicaine et professionnelle, elle a remporté des victoires éclatantes contre les trafiquants de drogue et les terroristes et continuera à défendre le pays et ses populations sans tenir compte des divagations Biramiennes.
Les religieux mauritaniens à leur tête le vénérable Ould Deddew ont prouvé leur respectabilité en dehors même de nos frontières par leurs connaissances et leur engagement contre l’arbitraire sous Ould Taya , du temps où Biram, parlait si peu.
Biram doit comprendre aussi, qu’aucune communeauté ne l’a élu ou mandaté et que ce n’est pas lui qui décide qui est Arabe ou qui ne l’est pas.
Ne doit-il donc pas chercher d’autres arguments et économiser son énergie à la veille du Ramadan, au lieu de continuer à prêcher dans le désert? Mahmoudi Ould Saibott Vice- président de la coordination des partis de la Majorité présidentielle President du PMJD
|