| L’opposition continue à suivre ses méthodes désespérées pour cacher la vérité et donner une image sombre du pays qui n’existe que dans l’imagination de cette dernière.Pour nous, au niveau de l’UPR, conformément à notre engagement à éclairer toujours l’opinion publique...
...sur les réalités nationales et notre volonté de combattre la désinformation surtout quand elle émane de ceux qui sont sensés parler au nom de l’opposition positive. Dans cette optique, nous faisons les éclaircissements suivants :
L’unité nationale et la concorde des composantes de notre peuple sur un terrain solide bâti par la religion, l’histoire commune, la culture, la complémentarité, l’entraide, bref la vie avec tous ses aspects. Ajouter à cela la prise de conscience de la situation déplorable des peuples qui ont été entraînés par des groupuscules politiques défaillants qui doivent leur existence à des discours basés sur le racisme, le clanisme et toutes autres vise’es séparatistes chaque fois qu’ils ressentent un échec dans une échéance politique. Au lieu d’œuvrer à éduquer les masses et les aider à devenir mûrir politiquement et admettre les résultats de toute échéance et le choix du peuple conformément aux normes internationales du jeu démocratique. Ainsi notre opposition devrait suivre et admettre les résultats avec un esprit sportif et exercer son rôle objectif, préparer l’avenir loin d’appliquer le principe qui dit "la fin justifie les moyens" ou l’action en faveur de la propagation de la terreur parmi la population parce qu’elle ne leur a pas fait confiance quitte à détruire un peuple et une nation.
La Mauritanie que les différents partis politiques aspirent à diriger doit rester une unité, un territoire, un peuple et une souveraineté au dessus de tous. Le discours politique ne doit aucunement atteindre la bassesse de porter préjudices à nos racines ou nos origines. Aucune langue ou main ne doit se tendre vers l’unité ou les valeurs du peuple mauritanien, car cela ne peut en aucun cas être utilisé pour réaliser des objectifs politiques pour une partie ou une autre. Or une telle action peut pousser à faire l’infaisable dans leur dictionnaire soit ternir l’image de certains de leurs chefs au moment où ils n’hésitent pas à parler de façon incorrecte du symbole de la souveraineté nationale, soit la direction élue par la majorité de notre peuple. Ainsi par respect à cette opposition nous ne pouvons que citer certains exemples des coups durs portés à l’encontre de notre tissu par certains leaders de cette même opposition afin de faire le maximum de pression :
- en ce qui concerne le dialogue demandé par l’opposition, on se suffit de rappeler que c’est elle qui l’a refusé, et quand elle aura terminé son jeu nous sommes pour le dialogue sur les bases connues dans les démocraties sérieuses, mais on ne peut que s’interroger sur le dialogue est-ce qu’il aura lieu avant ou après le triomphe qu’elle promet à ses sympathisants ?
- en ce qui concerne la langue arabe et les autres langues nationales, l’opposition et nous devons respecter la Constitution et s’y référer, car il n’y a pas de problème dans le fonds du sujet, et le malentendu a des remèdes. Mais tenter de saboter l’unité nationale pour la une quelconque interprétation, ne peut que se heurter à notre ferme volonté de protéger nos acquis quelle que soit la partie qui les attaque, car cela doit rester loin des attractions.
- en ce qui concerne l’appui accordé aux couches vulnérables de notre population, c’est leur droit et notre devoir, et l’opposition a reconnu pour la première fois, qu’on fait notre devoir. Quant à l explication de notre intention, elle est libre de la choisir, mais n’empiète point sur la valeur de l’action. Comme il n’est point de notre responsabilité de laisser notre devoir pour faciliter la tâche de l’opposition de lancer l’une ou l’autre partie.
En conclusion, nous réaffirmons notre engagement à continuer à appliquer notre programme et ce que nous avons promis à nos masses depuis notre élection, et invitons l’autre partie à trouver une méthode positive et responsable pour jouer son rôle conformément aux usages démocratiques afin de servir le peuple mauritanien, son émancipation et sa paix sociale ; et si cette partie insiste à emprunter l’autre chemin, nous lui rappelons que le peuple et l’histoire lui feront obstacle. Quant à nous nous continuerons à nous acquitter de nos responsabilités envers l’unité de notre peuple, sa sécurité et sa stabilité.
La Commission communication
Union Pour la République (UPR)
Nouakchott, le 09/04/2009
Les opinions exprimées dans la rubrique "COMMUNIQUE" n’engagent pas necessairement TAHALIL. Elles engagent leur(s) auteur(s).
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