|                      C’est une histoire qui commença le 3 aoĂ»t 2005, une histoire de partis en quĂŞte du pouvoir, ce sont des histoires de partis, parfois on les imagine  grandes, mais elles finissent par n’être que de petites histoires. Il s’agit d’ histoires de personnes Ă  la recherche d’un fauteuil prĂŞtes Ă  toutes les combines, combinaisons, compromissions pourvues de se construire leur propre histoire ou de la reconstruire, mais l’histoire ce sont souvent ceux qui ne la font pas, qui la subissent les premiers.     
					                       
                                        Or, depuis quelques semaines on assiste Ă  une autre sacrĂ©e histoire, celle des indĂ©pendants, celle que nos chers partis politiques n’ont  su anticiper depuis le  3 aoĂ»t, et  ils sont entrain de la subir. Ils sont maintenant   les premiers dindons de la farce, et comble de l’humiliation ils ont tous -Ă  une exception - Ă©tĂ© au  F’tour prĂ©sidentiel qui a permis Ă  certains d’entre eux de s’imaginer dans leur future demeure. HĂ©las !  C’est  comptĂ© sans cette histoire des indĂ©pendants  
Ce F’tour, ils ont imaginĂ© qu’il serait l’occasion de parler franchement, ouvertement avec ceux qui nous dirigent, mais ils ont juste omis un dĂ©tail de l’histoire, c’est qu’ils n’en sont mĂŞme plus des acteurs, mais juste des bouffons, utilisĂ©s au besoin, dans un premier temps pour lĂ©gitimer l’histoire, dans un deuxième pour meubler l’histoire et enfin pour subir l’histoire. Alors, nos chers politiciens ont mangĂ©  le petit f’tour, puis s’en sont allĂ©s, Ă  la fin ça fait vraiment une  petite histoire. Au dodo ! IOM                     
                    
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