Le dialogue politique envisgé  entre le pouvoir et l’opposition est perçu par une grande frange d’observateurs nationaux  comme une véritable chance pour le pays  qui a besoin d’apaisement après plus deux années de tension pouvant servir  de prétexte de déstabilisation d’un pays  qui a renoué avec ses partenaires...    
					                       
                                        ...et peut , dans la maturité,  envisager son avenir dans la serennité.  
Mais si le pouvoir  a exprimé sa disponibilité au dialogue et si l’opposition démocratique a également fait part de sa disponibilité à celui-ci,  certaines échoppes politiciennes adeptes du mercenariat politique, sans aptitudes autre qu’applaudir pour présenter une facture,  mettent les bouchées doubles pour faire capoter le dialogue et maintenir la tension.  
Les mercenaires politiques qui prennent la forme de lobbies affairistes ou sectaires, de partis cartables, de cadres à diplômes douteux  ainsi que d initiatives-de-soutien-à-tout-nouveau-venu-au-pouvoir, veulent continuer à accaparer le soutien (et le zèle) aux  pouvoirs politiques. 
Ils  pensent que tout rapprochement entre le pouvoir et son opposition se fera à leurs dépens .  
«C’est quand il a crise, qu’on a besoin de nous, il faut que la crise reste» nous a cyniquement déclaré le Caid d’un partillon qui semblait  inquiet après une audience accordée par le président de la République au président en exercice de la Coordination de l’Opposition Démocratique (COD). 
  
                      
                    
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