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13/08/2007 CHRONIQUE D’UNE RETRAITE ANNONCEE (II eme Partie): Montages et captivitĂ©

La semaine passĂ©e, Ă  la faveur de mon article : Â«chronique d’une retraite annoncĂ©e : Les bons et les mĂ©chants», j’ai promis de vous retracer la chronologie des faits qui ont marquĂ© l’arrestation et la radiation on ne peut plus moches des 18 militaires, enfermĂ©s le 8 AoĂ»t et littĂ©ralement chassĂ©s le 22 novembre 2004. Aujourd’hui, Â«La promesse Ă©tant une dette», je vous livre Ă  domicile votre dĂ»



06/08/2007 Chronique d’une

Dans les prochains jours, j’aurais à publier le journal de l’univers kafkaïen dans lequel des dizaines de collègues et moi avions été plongés, sans autre forme de procès, le 8 Août 2004 .Mais avant de dresser à mes lecteurs cette chronologie ridicule des faits ayant, mine de rien, précipité la chute d’un régime déjà aux abois, je trouve utile de présenter les causes lointaines ayant présidé au déclenchement de l’un des incidents les plus honteux de l’histoire de notre armée.



31/07/2007 Les Haratines, le devoir de s’assumer

Prenant pour prĂ©texte le discours du PrĂ©sident de la RĂ©publique Ă  la nation le 29 juin dernier, annonçant la volontĂ© de l’Etat d’assurer le retour des rĂ©fugiĂ©s mauritaniens installĂ©s au SĂ©nĂ©gal et au Mali depuis les douloureux et regrettables Ă©vĂ©nements de 1989, certains individus, issus de famille ou de tribus anciennement dominantes, face Ă  la perte, Ă  la dissolution progressive et inĂ©vitable de cette position de droit et de fait, pour certains d’entre eux, en raison d’une dĂ©mocratisation qui semble, en dĂ©pit des pièges qu’ils lui tendent, s’installer durablement, exagèrent leurs prĂ©tentions en voulant incarner Ă  eux seules toute la Mauritanie et en s’arrogeant le droit et mĂŞme le devoir d’en dĂ©finir la citoyennetĂ©, la culture et la vocation.



29/07/2007 Les 100 jours du nouveau pouvoir : L’imparable mĂ©thode du PrĂ©sident Sidi, par Ezzedine A.

Le nouveau pouvoir a cent jours en cette fin de juillet 2007 et cet anniversaire n’est pas passé inaperçu pour la presse nationale et même étrangère, à l’image de Jeune Afrique qui, sous la plume de son envoyée spéciale Marianne Meunier, lui a consacré la une de sa 2428ème édition. 100 jours c’est peu dans la vie d’une nation, mais ça représente près du vingtième du mandat octroyé par les mauritaniens au premier Président démocratiquement élu sans conteste. Cela justifie donc un bilan sans complaisance, mais aussi sans velléité de critique tous azimuts.



23/07/2007 PrĂ©sentation de l’EpĂ®tre al-ghallaouiya de Cheikh Sidi Muhammad Al-Khlifa Al Kunti (1242 h /1826) : Par Hamahou Allah Ould Salem, professeur d’Histoire

«Errissala al-aghallaouiya»: l’EpĂ®tre al-ghallaouiya (en français) s’inscrit dans la littĂ©rature Ă©pistolaire qui est devenue un genre autonome depuis le 11e s H (17e s) dans le Maghreb extrĂŞme avant d’atteindre son apogĂ©e en Mauritanie, avec les Ă©rudits et les cheikh de la confrĂ©rie mukhtariya, Ă  partir du 12e H. Depuis lors, ce genre littĂ©raire a dĂ©limitĂ© son domaine, ses règles et son contexte. L’EpĂ®tre Ă©tait devenue un moyen de communication, de dialogue, de nĂ©gociations, de plaidoirie entre les groupes en conflit. Elle Ă©tait devenue Ă©galement un outil pĂ©dagogique aux mains des oulĂ©mas pour diffuser leurs orientations, Ă©changer leurs opinions au sujet des grandes questions juridiques et religieuses (al-nawazil)



13/07/2007 DÉBAT: Ces FLAM qui dĂ©rangent les forces du mal, Par Kaaw TourĂ©, Porte-parole des FLAM,

Les partisans du système raciste et exclusiviste ont de la suite dans les idées. Le colonel- président déchu est en passe de gagner ses galons de noblesse dans le monde de la politique politicienne, inexpugnable forteresse où le mensonge gaillardement campé prend la forme et les couleurs de la vérité. Il est parvenu encore à se créer d´autres émules, d´autres François Soudan, d´autres mnd´istes maîtres dans l´art d´éteindre la torche de la démocratie et de maintenir l´ombre là où justement une lumière crue devrait permettre une transparence.



18/06/2007 Note sur l’expĂ©rience dĂ©mocratique en Mauritanie : Les dĂ©fis stratĂ©giques de la nouvelle dĂ©mocratie ; par Mohamed Yehdhih Ould Breideleil

La DĂ©mocratie n’est pas la fin de l’histoire. C’est peut ĂŞtre mĂŞme d’une certaine façon son point de dĂ©part, en ce sens que tous les espoirs sont permis, tous les sentiments confinĂ©s ou tus s’extĂ©riorisent au grand jour, toutes les revendications s’expriment ouvertement, tous les blocages et interdictions sont levĂ©s.
Les obstacles, les difficultés, les défis et même les dangers ne cessent pas du fait de l’instauration d’une démocratie ou de la proclamation des résultats d’élections libres et transparentes.



18/06/2007 Une dĂ©mocratie sur mesure : Un exemple Ă  suivre ! Par, Ahmedou Ould Sidy, Docteur Ă©s Lettres, Ancien ministre

La scène politique en Mauritanie a connu tout dernièrement un mouvement de flux et de reflux sans précédent dans l’histoire du pays voire dans la sous région tout entière. Une situation qui a suscité les espoirs nourrissant les aspirations à une ère nouvelle de révision et de restructuration véritable. Cette fois-ci réalisée grâce au scrutin libre accompagné par un intérêt inégalé exprimé par 19 candidats à l’unique siége du président de la République.Une compétition avec pour la première fois des concurrents ayant les mêmes chances.



20/04/2007 DĂ©bats: Intellectuels «rĂ©alistes» et conservateurs traditionnels, mĂŞme combat !

Bien qu’ils se disent et se considèrent comme profondément «modernistes», hostiles à toutes les formes d’exploitation, d’inégalité et d’injustice, les intellectuels mauritaniens, autoproclamés «réalistes» ne diffèrent guère -la sincérité en moins- en fait de ceux que nous appelons avec mépris conservateurs traditionnels.



01/02/2007 Soliloque sur le vote blanc : Par Abdel Kader Ould Mohamed,Juriste ancien SecrĂ©taire d’Etat

Pour Ă©viter l’émission des jugements  fondĂ©s sur des donnĂ©es abstraites et afin  de contourner le traitement des cas fictifs, l’Imam Malik Ibnou  Anas (m.179H/  795 ap JC) dĂ©conseillait  Ă  ses Ă©tudiants la spĂ©culation juridique et leur  demandait, inlassablement, «si le problème qu’ils lui soumettaient s’était rĂ©ellement posé», et quand on lui rĂ©pondait qu’il s’agissait, tout simplement, d’une hypothèse ou  mĂŞme d’une probabilitĂ©, il se contentait de dire : «Attendez que le cas se pose».




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