Premier << 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 >> Dernier |
27/12/2008 Mémoires (suite): Diplomatie et desert
La Réunion d’Addis Abeba s’est tenue, le communiqué stipule au point 3:«Le Conseil prend acte de la remise en liberté du Président Sidi Ould Cheikh Abdellahi et considère que ce développement répond partiellement aux exigences de la communauté internationale, mais ne constitue pas un élément suffisant pour le retour à l’ordre constitutionnel.»(fin de citation).
|
20/12/2008 MEMOIRES: OU EN EST-ON?(2)
Le Pays est à la veille de deux dates imminentes qui sont d’une très grande importance pour les Mauritaniens, dans la situation qu’ils vivent depuis quatre mois. Il n’est donc peut-être pas superflu de faire «le point», avant ces deux échéances, pour lever certaines ambiguïtés que les «orchestrations» habituelles ont déjà commencé à installer dans nos esprits, aidées en cela par notre «pessimisme» façonné par les dernières décennies.
|
16/12/2008 Air Mauritanie: Quand les morts enterrent les vivants !
En tant qu’ancien employé d’Air Mauritanie, j’ai appris par voie de presse que certains anciens délégués ont porté plainte contre les anciens dirigeants de cette société pour permettre aux employés de recouvrer leurs droits.
|
10/12/2008 Libération=Excuses Publiques=Boulette de riz avarié=100 Millions, Caution=Rançon?
EINSTEIN a découvert la Relativité et la Formule E= MC2 (c au carré). Pour ceux des lecteurs de «Biladi» qui auraient des difficultés à comprendre : la découverte de cette Formule serait à la base de la Bombe Atomique ! Du reste le Président Actuel Démocratiquement Elu, certains de ses promotionnaires et d’autres Scientifiques de nos cadres aujourd’hui peuvent, s’ils étaient interviewés par «Biladi», donner de plus amples éclaircissements, Bref !
|
03/12/2008 AMNESTY: Le gouvernement se rend systématiquement coupable d’actes de torture
Amnesty International a accusé ce mercredi 3 décembre le gouvernement mauritanien de torture systématique, les forces de sécurité ayant adopté cette pratique comme méthode d’enquête et de répression.
|
24/11/2008 Memoires: OĂą en est-on ? par Mohamed Abdellahi Ould Kharchi
Depuis mon dernier courrier dans «BILADI», il y a eu, par rapport à la situation que nous vivons des développements, aussi bien sur les plans Intérieur qu’Extérieur,et qui impliquent de recadrer le débat et cerner «l’essentiel» par rapport au superflu, afin d’orienter vers LA SOLUTION, pour sortir le Pays de cette situation qui n’a que trop duré.
|
20/11/2008 Ould Moctar Nech: «Les mauritaniens ne savent pas travailler sous la menace…»
Mohamed Nacer Ould Moctar Nech, actuellement expert consultant indépendant, est un ancien responsable de la coopération avec l’Union Européenne en tant que Coordinateur de l’aide européenne au titre des différents instruments ( 1997-1999) au sein de l’administration mauritanienne. A veille de la date fatidique du 20 novembre 2008, nous l’interrogeons sur l’UE, la France et les problèmes politiques du pays.
|
08/11/2008 MEMOIRES (suite): Par Mohamed Abdellahi Ould Kharchi
La Mauritanie peut «s’enorgueillir» d’avoir aujourd’hui deux Présidents et il n’y a pas beaucoup de pays qui peuvent se payer ce luxe! Un Président Actuel Démocratiquement Elu (PADE), en chômage forcé, et un Président Autoproclamé (PAUT) qui «s’ingénie» à nous «gouverner», si le mot peut convenir, impropre, se faisant «aider», paraît-il, de certains de ces «génies civils spéciaux» que les Mauritaniens connaissent bien.
|
28/10/2008 MEMOIRES : Par Mohamed Abdellahi Ould Kharchi
Je regrette d’avoir fait preuve d’une «certaine naïveté» récemment, en faisant une analyse qui escamote certaines données, mais surtout parce que j’ai mal «apprécié» le rôle de certains acteurs et les « ramifications » effectives liées, malgré toute les tentatives de «camouflage», à l’Histoire de ce Pays depuis bien avant l’indépendance en 1960.
|
19/10/2008 La quadrature du cercle : Par Mohamed Abdelahi Ould Kharchi *
Le Pays vit une très grave situation. Et certains acteurs donnent l’impression de « jouer» avec le temps sans tenir compte, semble-t-il, de ce que la durée implique pour le simple citoyen. On se comporte comme s’il y avait une grande difficulté à trouver une solution ou à prendre la décision qui s’impose.
|