Evaluation des mécanismes spéciaux du Conseil des droits de l'Homme   
28/08/2014

Mme Aïchetou Mint M’Hayham, Commissaire aux droits de l’Homme et à l’Action Humanitaire a supervisé ce mercredi, à Nouakchott l’ouverture d’un atelier organisé conjointement par le Commissariat, le Centre des droits civiques et politiques et le bureau du Haut Commissariat des Nations Unies pour les droits de l’Homme à Nouakchott.



 Cet atelier, qui durera deux jours, permettra aux participants de découvrir les moyens de suivre les recommandations des commissions des traités et des mécanismes spéciaux.

 Dans son mot d’ouverture, Mme Aïchetou Mint M’Hayham a précisé que la Mauritanie a déjà appliqué l’essentiel des recommandations des commissions des traités, mettant en exergue l’actuel climat où l’on jouit de ses libertés - de manière naturelle- sans restriction aucune ni contrainte.

 Elle a déclaré par ailleurs que ceux qui suivent l’état des droits de l’Homme dans notre pays constatent nécessairement l’ampleur du changement qui a eu lieu dans ce domaine.

 Et la Commissaire d’indiquer que la voie démocratique actuellement suivie, avec tout ce que cela entraine de concertation, de dialogue, d’ouverture positive aux mécanismes internationaux indique clairement qu’un nouveau style, une nouvelle volonté ont été adoptés sous la direction clairvoyante du Président de la République, M. Mohamed Ould Abdel Aziz depuis son élection à la Magistrature Suprême.

 Mme Mint M’Hayham a ensuite déclaré que la Mauritanie tient à respecter ses engagements internationaux en matière de Droits de l’Homme et que d’importantes réalisations ont effectivement été enregistrées dans ce domaine, ce qui, dit-elle, traduit la qualité et le haut niveau de sa coopération avec les mécanismes internationaux.

 De son côté, le représentant du Haut Commissariat des Nations Unies aux droits de l’Homme en Mauritanie a déclaré que celle-ci a fourni de grands efforts quant à l’exécution de ses engagements et à l’acceptation des visites des rapporteurs spéciaux.

 Le responsable onusien a, par ailleurs, apprécié le rôle de la société civile dans la conception de ces recommandations à travers les mécanismes de traitement et le partage des rapports et informations y afférentes.

 Ont assisté à la cérémonie d’ouverture de cet atelier, les ministres de la justice et de l’enseignement supérieur et la présidente de la commission nationale des droits de l’Homme.




AMI


Toute reprise totale où partielle de cet article doit inclure la source : www.journaltahalil.com
Réagir à cet article
Pseudo
E-mail
Commentaire
Entrer le code
La rédaction de Tahalil vous demande d'éviter tout abus de langage en vue de maintenir le sérieux et de garantir la crédibilité de vos interventions dans cette rubrique. Les commentaires des visiteurs ne reflètent pas nécessairement le point de vue de Tahalil et de ses journalistes.
Les commentaires insultants ou diffamatoires seront censurés.

TAHALIL 2006-2022 Tous droits reservés