Soumise sur le terrain à la pression militaire mauritano-malienne, à l’observation satellitaire française, en proie à des défections et à la neutralisation ou l’arrestation de ses combattants en Algérie, Al Qaida au Maghreb Islamique (Aqmi) trouve encore du temps pour négocier et faire de la compassion.
Le correspondant de l’AFP à Bamako a rapporté le 12 novembre que l’otage française Françoise Larribe détenue depuis la mi-septembre par Aqmi et qui souffre d’un cancer "a reçu des médicaments".
Cette source aura ainsi envoyé un signal de compassion d’Aqmi envers ses dames otages (comme avec Greiner, Gamez et Philoméne). Les féministes apprecieront.
Les observateurs s’interrogent sur la contrepartie versée à Aqmi.
IOM
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