AZIZ? Le Président des pauvres peut-il, lui , au moins, réussir là où les autres ont échoué ? Telle est la grande question que se posent aujourd’hui les observateurs politiques après toutes ces prises de mesures inédites ...Depuis un certain temps...
on sait que si l’impunité et la stimulation de l’ambition politique chez ceux qui n’ont subi aucune formation de base ont été les points ou moments forts de l’ère de OULD TAYAA,que l’ère actuelle et malgré ses bouffées d’oxygène commence à asphyxier pas mal de cadres qui ne se bousculent plus pour avoir les promotions! Démission ?Frousse ? Doute ?Peur …? Tous ces concepts pèsent à l’image d’une épée de Damoclès ! Apparemment, tout n’est plus permis, le code de bonne gouvernance, oblige! Combat inégal ? Peine perdue ? Oui, peut être mais l’originalité réside dans le fait d’avoir osé! Assainir, moraliser, mettre en place le moule politico-socio-économique voire tous les moules sont de nobles objectifs certes mais jusqu’où pourra tenir notre société plurielle est l’équation que nous devons chercher à résoudre. Pour l’essentiel,après l’euphorie des premières heures de sortie de crise,nous découvrons amèrement ,presque cinquante bonnes années après les indépendances que tout reste à refaire et à re-bouler ! L’IGE ? Le logement? Les pauvres ?La cherté de la vie ?L’argent ?Le salafisme ? Les langues ?... ?La drogue? Le nomadisme politique? L’absence d’un code électoral qui tient compte de nos spécificités ? Oui, pêle-mêle, les choses se superposent et ne se conjuguent plus à la première personne du pluriel !
Idoumou OULD CHEIKH OULD BEIBY
Les opinions et avis exprimés dans ce courrier n’engagent pas nécessairement TAHALIL. Ils engagent leur(s) auteur(s).
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