Renforcement des connaissances et pratiques indispensables à la sécurité biologique   
30/01/2015

Les travaux de la session de formation organisée par l’institut national des recherches en santé publique en collaboration avec le projet III de l’Union Européenne au profit des techniciens des laboratoires publics et des hôpitaux de référence sur le renforcement des connaissances et ...



... des pratiques indispensables à la sécurité biologique ont été clôturés jeudi.  

Les participants à cette session ont émis une série de recommandations relatives à l’amélioration du cadre juridique de la sécurité biologique en Mauritanie et à l’appui des capacités des réseaux des laboratoires publics, conformément aux exigences des normes internationales ainsi qu’au renforcement des capacités de l’institut, de la recherche et des études sur les causes des maladies et leur prévention.

 Le conseiller chargé de la communication auprès du ministre de la santé le Prof Cheikh Baye Ould M’Khaitrat a indiqué à cette occasion que la Mauritanie a mis en oeuvre les orientations du Président de la République, Son Excellence Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz visant à faire de la santé du citoyen la priorité des politiques et des stratégies du département, affirmant que les recommandations émises par les participants au terme de ces travaux bénéficieront de l’attention nécessaire du département.

 Le directeur de l’institut, Dr. Mohamed Brahim Kowry a indiqué dans son discours que son établissement a réussi à former 28 participants, représentant les laboratoires sanitaires, vétérinaires et halieutiques en plus de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique pour hisser qualitativement les services sanitaires réalisés pour le compte des citoyens ainsi que pour les rendre conformes aux normes internationales à travers l’amélioration de la sécurité biologique dans les laboratoires mauritaniens.

 Les participants avaient débattu pendant 3 jours des moyens de la sécurité technique laborantine et environnementale ainsi que des impacts des déchets cliniques, en plus de l’évaluation des risques au niveau des laboratoires médicaux chimiques.






AMI


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