Plaidoyer pour l'amélioration des services liés à l'espacement des naissances   
18/11/2014

Les travaux de l’atelier sur le plaidoyer en faveur de l’amélioration des services liés à l’espacement des naissances et des indicateurs sanitaires organisé par le programme national de la santé reproductive en collaboration avec l’USAID et le Fnuap ont pris fin mardi à Nouakchott.



 La cérémonie d’ouverture a été l’occasion de passer en revue le modèle mauritanien sur le plaidoyer sur les questions de santé reproductive.

 Dans un mot prononcé pour la circonstance, le conseiller à la communication du ministre de la santé, Pr. Cheikh Baye Ould M’Khaitrate a indiqué que l’amélioration de la situation sanitaire des mères et des enfants en Mauritanie constitue une priorité pour le Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz que le gouvernement du Premier ministre, M. Yahya Ould Hademine s’emploie à concrétiser.

 Il a ajouté qu’au cours des dernières années, de nombreuses réalisations relatives à la santé de la mère et de l’enfant ont été accomplies et plusieurs intervenants dans la santé reproductive ont été formés, précisant que la sensibilisation et le plaidoyer ont connu également un développement significatif.

 Pour sa part, le représentant de l’USAID, Dr. Laourou Martin, a indiqué que

 " le sujet qui nous réunit aujourd’hui constitue une préoccupation sous régionale de premier plan depuis la tenue de la conférence de Ouagadougou sur le thème "population, planification familiale et développement: l’urgence d’agir " du 8 au 10 février 2011.

 Il a ajouté que nombre de pays ouest africains dont la Mauritanie ont été représenté à un haut niveau à la conférence de Ouagadougou en février 2011, ainsi qu’à la conférence de Sally Mbour au Sénégal sur "l’engagement de la société civile en faveur de la planification familiale" en septembre 2011.

 Il a précisé que ces pays ont par la suite développé, à travers un processus participatif et inclusif, leurs plans d’action nationaux pour la relance de la planification familiale avec l’appui technique et financier du "Partenariat de Ouagadougou".

 C’est ainsi, a-t-il dit, que 9 pays de la sous région ont adopté leurs plans d’action respectifs de relance de la planification familiale qui sont les fruits des efforts conjugués de tous les acteurs dans le domaine de la santé en général et de la planification familiale en particulier.

 La cérémonie de clôture s’est déroulée en présence du conseiller technique du ministre de la santé, Dr. El Hadi Ould Ideidbi et du coordinateur du programme national de la santé reproductive, Dr. Mahfoudh Ould Bey.
 






AMI


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